Association genevoise du musée des tramways
Catégorie CFD (Doubs)
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Autorail à 3 essieux sur pneumatiques à Pontarlier (AP 2-4, construction de la Cie, système Laborie, ing.)
Titre : Autorail à 3 essieux sur pneumatiques à Pontarlier (AP 2-4, construction de la Cie, système Laborie, ing.) Type de document : document graphique à deux dimensions Editeur : Lausanne : BVA Année de publication : [ca 1982] Collection : BVA num. 681.03 CFDoubs Importance : 1 carte postale Présentation : noir et blanc Format : 11 x 15 cm Langues : Français (fre) Catégories : [Mots-clefs] Ap 2-4
[Mots-clefs] Autorail
[Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Doubs (département)
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Pontarlier
[Ligne] Besançon
[Ligne] Foncine-Le-Haut
[Ligne] Levier
[Ligne] Pontarlier
[Compagnie] CFD (Doubs)
[Année] 1935Index. décimale : 4341 Chemin de fer interurbain et vicinal - véhicule - service régulier, transport de voyageur Autorail à 3 essieux sur pneumatiques à Pontarlier (AP 2-4, construction de la Cie, système Laborie, ing.) [document graphique à deux dimensions] . - Lausanne : BVA, [ca 1982] . - 1 carte postale : noir et blanc ; 11 x 15 cm. - (BVA; 681.03 CFDoubs) .
Langues : Français (fre)
Catégories : [Mots-clefs] Ap 2-4
[Mots-clefs] Autorail
[Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Doubs (département)
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Pontarlier
[Ligne] Besançon
[Ligne] Foncine-Le-Haut
[Ligne] Levier
[Ligne] Pontarlier
[Compagnie] CFD (Doubs)
[Année] 1935Index. décimale : 4341 Chemin de fer interurbain et vicinal - véhicule - service régulier, transport de voyageur Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 6700010019 4341(444.6) CFD 1935/01 Photographie Bachet Photographies Disponible Les autorails diesel-électriques Brissonneau et Lotz / Elie Mandrillon in Transports et patrimoine ferroviaires, N° 414 (Novembre/Décembre 2022)
[article]
Titre : Les autorails diesel-électriques Brissonneau et Lotz Type de document : texte imprimé Auteurs : Elie Mandrillon, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : P. 4-26 Langues : Français (fre) Catégories : [Mots-clefs] Allemagne de l'Est
[Mots-clefs] Aménagement intérieur
[Mots-clefs] Anjou
[Mots-clefs] Autorail
[Mots-clefs] Brissonneau & Lotz
[Mots-clefs] Caractéristique technique
[Mots-clefs] Charente (département)
[Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Côtes-du-Nord
[Mots-clefs] Doubs (département)
[Mots-clefs] Exploitation
[Mots-clefs] Finistère
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Gazogène
[Mots-clefs] Guerre 1939-45
[Mots-clefs] Histoire
[Mots-clefs] Livrée
[Mots-clefs] Modernisation
[Mots-clefs] Morbihan
[Mots-clefs] Panne
[Mots-clefs] Traction Diesel
[Mots-clefs] Traction électrique
[Mots-clefs] Vosges
[Compagnie] CdN
[Compagnie] CFD (Doubs)
[Compagnie] CFDF
[Compagnie] CFS (France)
[Compagnie] CFSNE
[Compagnie] CM (Morbihan)
[Compagnie] DR (RDA)
[Compagnie] EC
[Compagnie] SE (France)
[Année] 1893-1976Index. décimale : 4390 Chemin de fer interurbain et vicinal - histoire - généralités Résumé : A la fin du 19e siècle, la vapeur règne en maître dans les chemins de fer mais ses contraintes et son faible rendement poussent les compagnies à rechercher d'autres systèmes. La traction électrique nécessite de lourdes infrastructures et des essais sont menés en 1894 avec une locomotive vapeur-électrique. Le système se révèle lourd et complexe. Le moteur à explosion reste le seul qui permet de se passer des contraintes de stockage de l'énergie ou de sa distribution tout au long de la ligne. Son rendement médiocre est compensé par la capacité énergétique et le faible prix du carburant. Au début du 20e siècle apparaissent les premiers véhicules thermo-électriques. L'utilisation de l'électricité permet de se passer des fragiles organes de transmission mécanique, mais le rendement est environ 25% plus faible qu'avec une telle transmission. Les premiers autorails diesel-électrique de Brissonneau et Lotz sont fournis au réseau SE de l'Anjou en 1934. Dans la seconde moitié des années 1940, le réseau ferme et les autorails sont revendus aux Chemins de fer du Doubs. A la fermeture des dernières lignes du réseau en 1952, ils sont démolis. La Compagnie des chemins de fer d'intérêt local du Morbihan acquiert également des autorails Brissonneau et Lotz en 1935. A la fermeture du réseau en 1947, les autorails subsistants sont vendus au réseau voisin des Côtes-du-Nord. Mais les moteurs fatigués par le manque d'entretien durant la guerre et l'inexpérience du personnel avec la traction électrique conduisent rapidement à leur transformations en remorques. A la fermeture du réseau en 1956, celles-ci sont vendues à l'armée pour utilisation en Afrique du Nord. La Compagnie des chemins de fer économiques des Charentes acquiert 7 autorails en 1936. La fermeture du réseau est décidée deux ans plus tard, mais retardée par la guerre. La pénurie de carburant conduit à l'arrêt des autorails en septembre 1940. Leur transformation avec un gazogène se heurte à de nombreuses difficultés. Trois autorails sont vendus à l'Allemagne en 1942-43, un au réseau du Finistère, deux sont démolis suite aux bombardements de la gare d'Angoulême en 1944 et le dernier reprend du service en 1945 jusqu'à la fermeture du réseau fin 1946. Le dernier des trois autorails partis en Allemagne circulera en Poméranie jusqu'à la fermeture de la ligne en 1971. L'autorail parti sur le réseau du Finistère est utilisé pour les transports de l'organisation Todt. Après la libération, il est remis en état fin 1945 et circule jusqu'à la fermeture du réseau en 1946. Il est vendu aux CdN en 1947, mais son état conduit rapidement à sa transformation en remorque. Celle-ci est également vendue à l'armée à la fermeture du réseau. Le dernier autorail resté sur le réseau des Charentes est acquis par la Compagnie des chemins de fer secondaires du Nord-Est et reprend du service en 1949, jusqu'à la fermeture de la ligne en 1950. Il sera feraillé quelques années plus tard, les tentatives de revente n'ayant pas abouti. Dans les Vosges, la CFS met en service en 1937 un autorail Brissonneau & Lotz sur la ligne de la vallée de Celles. Il y circule jusqu'à la fermeture en 1950. Malgré ses bonnes performance, ce matériel arrivé tardivement sur le marché des autorails à voie métrique ne parvient pas à s'imposer. Le prix d'achat plus élevé que celui du matériel à transmission mécanique ainsi que la nécessité de disposer d'un personnel électricien spécialisé se sont révélés des freins à une époque où les restrictions financières et les compression du personnel étaient la règle.
in Transports et patrimoine ferroviaires > N° 414 (Novembre/Décembre 2022) . - P. 4-26[article] Les autorails diesel-électriques Brissonneau et Lotz [texte imprimé] / Elie Mandrillon, Auteur . - 2022 . - P. 4-26.
Langues : Français (fre)
in Transports et patrimoine ferroviaires > N° 414 (Novembre/Décembre 2022) . - P. 4-26
Catégories : [Mots-clefs] Allemagne de l'Est
[Mots-clefs] Aménagement intérieur
[Mots-clefs] Anjou
[Mots-clefs] Autorail
[Mots-clefs] Brissonneau & Lotz
[Mots-clefs] Caractéristique technique
[Mots-clefs] Charente (département)
[Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Côtes-du-Nord
[Mots-clefs] Doubs (département)
[Mots-clefs] Exploitation
[Mots-clefs] Finistère
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Gazogène
[Mots-clefs] Guerre 1939-45
[Mots-clefs] Histoire
[Mots-clefs] Livrée
[Mots-clefs] Modernisation
[Mots-clefs] Morbihan
[Mots-clefs] Panne
[Mots-clefs] Traction Diesel
[Mots-clefs] Traction électrique
[Mots-clefs] Vosges
[Compagnie] CdN
[Compagnie] CFD (Doubs)
[Compagnie] CFDF
[Compagnie] CFS (France)
[Compagnie] CFSNE
[Compagnie] CM (Morbihan)
[Compagnie] DR (RDA)
[Compagnie] EC
[Compagnie] SE (France)
[Année] 1893-1976Index. décimale : 4390 Chemin de fer interurbain et vicinal - histoire - généralités Résumé : A la fin du 19e siècle, la vapeur règne en maître dans les chemins de fer mais ses contraintes et son faible rendement poussent les compagnies à rechercher d'autres systèmes. La traction électrique nécessite de lourdes infrastructures et des essais sont menés en 1894 avec une locomotive vapeur-électrique. Le système se révèle lourd et complexe. Le moteur à explosion reste le seul qui permet de se passer des contraintes de stockage de l'énergie ou de sa distribution tout au long de la ligne. Son rendement médiocre est compensé par la capacité énergétique et le faible prix du carburant. Au début du 20e siècle apparaissent les premiers véhicules thermo-électriques. L'utilisation de l'électricité permet de se passer des fragiles organes de transmission mécanique, mais le rendement est environ 25% plus faible qu'avec une telle transmission. Les premiers autorails diesel-électrique de Brissonneau et Lotz sont fournis au réseau SE de l'Anjou en 1934. Dans la seconde moitié des années 1940, le réseau ferme et les autorails sont revendus aux Chemins de fer du Doubs. A la fermeture des dernières lignes du réseau en 1952, ils sont démolis. La Compagnie des chemins de fer d'intérêt local du Morbihan acquiert également des autorails Brissonneau et Lotz en 1935. A la fermeture du réseau en 1947, les autorails subsistants sont vendus au réseau voisin des Côtes-du-Nord. Mais les moteurs fatigués par le manque d'entretien durant la guerre et l'inexpérience du personnel avec la traction électrique conduisent rapidement à leur transformations en remorques. A la fermeture du réseau en 1956, celles-ci sont vendues à l'armée pour utilisation en Afrique du Nord. La Compagnie des chemins de fer économiques des Charentes acquiert 7 autorails en 1936. La fermeture du réseau est décidée deux ans plus tard, mais retardée par la guerre. La pénurie de carburant conduit à l'arrêt des autorails en septembre 1940. Leur transformation avec un gazogène se heurte à de nombreuses difficultés. Trois autorails sont vendus à l'Allemagne en 1942-43, un au réseau du Finistère, deux sont démolis suite aux bombardements de la gare d'Angoulême en 1944 et le dernier reprend du service en 1945 jusqu'à la fermeture du réseau fin 1946. Le dernier des trois autorails partis en Allemagne circulera en Poméranie jusqu'à la fermeture de la ligne en 1971. L'autorail parti sur le réseau du Finistère est utilisé pour les transports de l'organisation Todt. Après la libération, il est remis en état fin 1945 et circule jusqu'à la fermeture du réseau en 1946. Il est vendu aux CdN en 1947, mais son état conduit rapidement à sa transformation en remorque. Celle-ci est également vendue à l'armée à la fermeture du réseau. Le dernier autorail resté sur le réseau des Charentes est acquis par la Compagnie des chemins de fer secondaires du Nord-Est et reprend du service en 1949, jusqu'à la fermeture de la ligne en 1950. Il sera feraillé quelques années plus tard, les tentatives de revente n'ayant pas abouti. Dans les Vosges, la CFS met en service en 1937 un autorail Brissonneau & Lotz sur la ligne de la vallée de Celles. Il y circule jusqu'à la fermeture en 1950. Malgré ses bonnes performance, ce matériel arrivé tardivement sur le marché des autorails à voie métrique ne parvient pas à s'imposer. Le prix d'achat plus élevé que celui du matériel à transmission mécanique ainsi que la nécessité de disposer d'un personnel électricien spécialisé se sont révélés des freins à une époque où les restrictions financières et les compression du personnel étaient la règle. Les autorails JL (Jean Laborie) / Elie Mandrillon in Transports et patrimoine ferroviaires, N° 427 (Janvier/Février 2025)
[article]
Titre : Les autorails JL (Jean Laborie) Type de document : texte imprimé Auteurs : Elie Mandrillon, Auteur Année de publication : 2025 Article en page(s) : P. 4-18 Langues : Français (fre) Catégories : [Mots-clefs] 1
[Mots-clefs] 2
[Mots-clefs] 3-7
[Mots-clefs] Aménagement intérieur
[Mots-clefs] Ap
[Mots-clefs] Autorail
[Mots-clefs] Caractéristique technique
[Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Doubs (département)
[Mots-clefs] Essai
[Mots-clefs] Exploitation
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Freinage
[Mots-clefs] Guerre 1939-45
[Mots-clefs] Histoire
[Mots-clefs] Jura (département)
[Mots-clefs] Patinage
[Mots-clefs] Pneu rail
[Mots-clefs] Roue Elastique
[Mots-clefs] Voie métrique
[Ligne] Andelot
[Ligne] Besançon
[Ligne] Foncine-Le-Haut
[Ligne] Levier
[Ligne] Lons-le-Saunier
[Ligne] Pontarlier
[Ligne] St-Claude
[Compagnie] AL (Jura)
[Compagnie] CFD (Doubs)
[Compagnie] CFV (France)
[Compagnie] CGM
[Compagnie] PM
[Année] 1933-1950Index. décimale : 4340 Chemin de fer interurbain et vicinal - véhicule - généralités, histoire, caractéristiques techniques (pour une série particulière, sinon, voir classe 493*(si lié à une compagnie) ou 61** Résumé : Jean-Marie Teillet-Laborie, ingénieur civil des Ponts-ec-Chaussées, hérite, après la première guerre mondiale, des concessions ferroviaires de son père. Il s'attache à la modernisation de ses réseaux pour optimiser les coûts de transport et le confort des voyageurs. En 1930, le Département du Doubs cherche à faire des économies dans l'exploitation de son réseau et à enrayer la désaffection des voyageurs. La Micheline semble alors être une solution, mais les expériences menées avec ce véhicules montrent que l'usure des pneus rail sur les petits rails des voies métriques sera trop importante. M. Laborie propose alors un autorail léger, construit sur la base d'un châssis de camionnette Renault SX et muni de quatre essieux pour répartir le poids au mieux. Les trois essieux arrières sont munis de semi-pneus et l'essieu avant, moteur, de pneumatiques routiers. Lors des premiers essais en 1933 sur les lignes au départ de Pontarlier, cet autorail, numéroté AP 1, atteint la vitesse de 80 km/h. Le Département du Doubs ne s'empresse pas d'acheter des autorails de série, jugés trop coûteux et dont l'adhérence de l'essieu moteur et la puissance de freinage suscitent des réserve de l'ingénieur en chef des Ponts-et-Chaussées. De nouveaux essais menés en juillet et août 1933 confirment la tendance au patinage par temps de pluie. Un second prototype, numéroté AP 2, est construit en fin d'année, il effectue ses premiers essais sur le CGM. Les AP 1 et 2 réalisent plusieurs voyages de démonstration, M. Laborie tentant de vendre son invention à d'autres réseaux, mais sans succès. Les deux autorails sont finalement mis en service régulier dès le 1er mars 1934 sur le réseau du Doubs. Sur rails secs, ces véhicules permettent d'appréciables gains de temps et l'AP 2 atteint même 100 km/h, record de vitesse sur voie métrique à l'époque. Une série de 5 autorails (AP 3-7) est finalement commandée par le Département du Doubs en 1934. Des problèmes surviennent sur les semi-pneus de ces véhicules et ils doivent être remplacés, ce qui améliore les performances des véhicules. Malgré cela, le Département résilie sa commande. M. Laborie est tout de même autorisé à poursuivre les essais sur le réseau et l'utilisation de roues avec interposition de semi-pneu entre le centre des roues et un bandage métallique donne de bons résultats en traction, mais le freinage ne répond plus aux normes. Un système de frein électromagnétique est testé mais il ne donne pas les résultats attendus et est abandonné. Les 5 autorails sont finalement tout de même mis en service sur le réseau en 1936, sur la base d'un contrat de location-vente (1 fr. par kilomètre, jusqu'à concurrence de 70'000 fr.). Les années suivantes, la fiabilité des autorails s'améliore et ils sont régulièrement utilisés. Avec le déclenchement de la seconde guerre mondiale et le regain de trafic, ces autorails de trop faible capacité sont garés. A la fin de la guerre, les CFD les louent au département du Jura qui les emploie dès 1945 sur la ligne Lons-le-Saunier - St-Claude des CFV en remplacement des autocars. Certains autorails reviennent dans le Doubs en 1946, mais ils sont peu utilisés, en raison de leur faible capacité, puis sont remplacés par de nouveaux autorails. Après la suppression du trafic voyageur en 1950, l'un est transformé en camionnette et les autres démolis.
in Transports et patrimoine ferroviaires > N° 427 (Janvier/Février 2025) . - P. 4-18[article] Les autorails JL (Jean Laborie) [texte imprimé] / Elie Mandrillon, Auteur . - 2025 . - P. 4-18.
Langues : Français (fre)
in Transports et patrimoine ferroviaires > N° 427 (Janvier/Février 2025) . - P. 4-18
Catégories : [Mots-clefs] 1
[Mots-clefs] 2
[Mots-clefs] 3-7
[Mots-clefs] Aménagement intérieur
[Mots-clefs] Ap
[Mots-clefs] Autorail
[Mots-clefs] Caractéristique technique
[Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Doubs (département)
[Mots-clefs] Essai
[Mots-clefs] Exploitation
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Freinage
[Mots-clefs] Guerre 1939-45
[Mots-clefs] Histoire
[Mots-clefs] Jura (département)
[Mots-clefs] Patinage
[Mots-clefs] Pneu rail
[Mots-clefs] Roue Elastique
[Mots-clefs] Voie métrique
[Ligne] Andelot
[Ligne] Besançon
[Ligne] Foncine-Le-Haut
[Ligne] Levier
[Ligne] Lons-le-Saunier
[Ligne] Pontarlier
[Ligne] St-Claude
[Compagnie] AL (Jura)
[Compagnie] CFD (Doubs)
[Compagnie] CFV (France)
[Compagnie] CGM
[Compagnie] PM
[Année] 1933-1950Index. décimale : 4340 Chemin de fer interurbain et vicinal - véhicule - généralités, histoire, caractéristiques techniques (pour une série particulière, sinon, voir classe 493*(si lié à une compagnie) ou 61** Résumé : Jean-Marie Teillet-Laborie, ingénieur civil des Ponts-ec-Chaussées, hérite, après la première guerre mondiale, des concessions ferroviaires de son père. Il s'attache à la modernisation de ses réseaux pour optimiser les coûts de transport et le confort des voyageurs. En 1930, le Département du Doubs cherche à faire des économies dans l'exploitation de son réseau et à enrayer la désaffection des voyageurs. La Micheline semble alors être une solution, mais les expériences menées avec ce véhicules montrent que l'usure des pneus rail sur les petits rails des voies métriques sera trop importante. M. Laborie propose alors un autorail léger, construit sur la base d'un châssis de camionnette Renault SX et muni de quatre essieux pour répartir le poids au mieux. Les trois essieux arrières sont munis de semi-pneus et l'essieu avant, moteur, de pneumatiques routiers. Lors des premiers essais en 1933 sur les lignes au départ de Pontarlier, cet autorail, numéroté AP 1, atteint la vitesse de 80 km/h. Le Département du Doubs ne s'empresse pas d'acheter des autorails de série, jugés trop coûteux et dont l'adhérence de l'essieu moteur et la puissance de freinage suscitent des réserve de l'ingénieur en chef des Ponts-et-Chaussées. De nouveaux essais menés en juillet et août 1933 confirment la tendance au patinage par temps de pluie. Un second prototype, numéroté AP 2, est construit en fin d'année, il effectue ses premiers essais sur le CGM. Les AP 1 et 2 réalisent plusieurs voyages de démonstration, M. Laborie tentant de vendre son invention à d'autres réseaux, mais sans succès. Les deux autorails sont finalement mis en service régulier dès le 1er mars 1934 sur le réseau du Doubs. Sur rails secs, ces véhicules permettent d'appréciables gains de temps et l'AP 2 atteint même 100 km/h, record de vitesse sur voie métrique à l'époque. Une série de 5 autorails (AP 3-7) est finalement commandée par le Département du Doubs en 1934. Des problèmes surviennent sur les semi-pneus de ces véhicules et ils doivent être remplacés, ce qui améliore les performances des véhicules. Malgré cela, le Département résilie sa commande. M. Laborie est tout de même autorisé à poursuivre les essais sur le réseau et l'utilisation de roues avec interposition de semi-pneu entre le centre des roues et un bandage métallique donne de bons résultats en traction, mais le freinage ne répond plus aux normes. Un système de frein électromagnétique est testé mais il ne donne pas les résultats attendus et est abandonné. Les 5 autorails sont finalement tout de même mis en service sur le réseau en 1936, sur la base d'un contrat de location-vente (1 fr. par kilomètre, jusqu'à concurrence de 70'000 fr.). Les années suivantes, la fiabilité des autorails s'améliore et ils sont régulièrement utilisés. Avec le déclenchement de la seconde guerre mondiale et le regain de trafic, ces autorails de trop faible capacité sont garés. A la fin de la guerre, les CFD les louent au département du Jura qui les emploie dès 1945 sur la ligne Lons-le-Saunier - St-Claude des CFV en remplacement des autocars. Certains autorails reviennent dans le Doubs en 1946, mais ils sont peu utilisés, en raison de leur faible capacité, puis sont remplacés par de nouveaux autorails. Après la suppression du trafic voyageur en 1950, l'un est transformé en camionnette et les autres démolis.
Titre : Le chemin de fer franco-suisse et ses affluents régionaux : Régional du Val-de-Travers et anciens Chemins de fer du Doubs : plaquette éditée à l'occasion du centenaire de la ligne Neuchâtel - Pontarlier Type de document : texte imprimé Auteurs : Sébastien Jacobi, Auteur Editeur : Les Verrières : [s.n.] Année de publication : 1960 Importance : 50 p. Présentation : ill. Format : 24 cm Langues : Français (fre) Catégories : [Mots-clefs] Automotrice à vapeur
[Mots-clefs] Automotrice électrique
[Mots-clefs] Autorail
[Mots-clefs] Caractéristique technique
[Mots-clefs] Chemin de fer
[Mots-clefs] Compagnie
[Mots-clefs] Construction
[Mots-clefs] Doubs (département)
[Mots-clefs] Electrification
[Mots-clefs] Exploitation
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Histoire
[Mots-clefs] Horaire
[Mots-clefs] Ligne transfrontalière
[Mots-clefs] Locomotive à vapeur
[Mots-clefs] Locomotive électrique
[Mots-clefs] Neuchâtel (canton)
[Mots-clefs] Parc de véhicules
[Mots-clefs] Projet
[Mots-clefs] Réseau
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Tarif
[Mots-clefs] Transport de marchandise
[Mots-clefs] Val-de-Travers
[Mots-clefs] Voiture
[Compagnie] CFD (Doubs)
[Compagnie] CFF (Suisse)
[Compagnie] FS (Suisse)
[Compagnie] JS (Jura-Simplon)
[Compagnie] PLM
[Compagnie] RVT
[Compagnie] SO (Suisse)
[Compagnie] SOS
[Ligne] 221
[Ligne] Buttes
[Ligne] Fleurier
[Ligne] Neuchâtel
[Ligne] Pontarlier
[Ligne] St-Sulpice
[Ligne] Travers
[Année] 1816-1960Index. décimale : 4390 Chemin de fer interurbain et vicinal - histoire - généralités Le chemin de fer franco-suisse et ses affluents régionaux : Régional du Val-de-Travers et anciens Chemins de fer du Doubs : plaquette éditée à l'occasion du centenaire de la ligne Neuchâtel - Pontarlier [texte imprimé] / Sébastien Jacobi, Auteur . - Les Verrières : [s.n.], 1960 . - 50 p. : ill. ; 24 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : [Mots-clefs] Automotrice à vapeur
[Mots-clefs] Automotrice électrique
[Mots-clefs] Autorail
[Mots-clefs] Caractéristique technique
[Mots-clefs] Chemin de fer
[Mots-clefs] Compagnie
[Mots-clefs] Construction
[Mots-clefs] Doubs (département)
[Mots-clefs] Electrification
[Mots-clefs] Exploitation
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Histoire
[Mots-clefs] Horaire
[Mots-clefs] Ligne transfrontalière
[Mots-clefs] Locomotive à vapeur
[Mots-clefs] Locomotive électrique
[Mots-clefs] Neuchâtel (canton)
[Mots-clefs] Parc de véhicules
[Mots-clefs] Projet
[Mots-clefs] Réseau
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Tarif
[Mots-clefs] Transport de marchandise
[Mots-clefs] Val-de-Travers
[Mots-clefs] Voiture
[Compagnie] CFD (Doubs)
[Compagnie] CFF (Suisse)
[Compagnie] FS (Suisse)
[Compagnie] JS (Jura-Simplon)
[Compagnie] PLM
[Compagnie] RVT
[Compagnie] SO (Suisse)
[Compagnie] SOS
[Ligne] 221
[Ligne] Buttes
[Ligne] Fleurier
[Ligne] Neuchâtel
[Ligne] Pontarlier
[Ligne] St-Sulpice
[Ligne] Travers
[Année] 1816-1960Index. décimale : 4390 Chemin de fer interurbain et vicinal - histoire - généralités Réservation
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Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 6700001932 4390(444.6:494.43) JAC Brochure Bachet Brochures Disponible No 42 - 1987-2 - Les chemins de fer du Doubs (Bulletin de Magazine des tramways à vapeur et des secondaires) / Jean-Claude Riffaud
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Magazine des tramways à vapeur et des secondaires / Amis du rail secondaire et touristique
Titre : No 42 - 1987-2 - Les chemins de fer du Doubs : première partie Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Claude Riffaud, Auteur ; André Artur, Collaborateur ; Claude Lornet, Collaborateur ; Jacques Renaud, Collaborateur ; Bernard Rozé, Collaborateur ; Willy Boegli (1916-1994), Collaborateur ; Jacques Laurent, Collaborateur ; Claude Rossinelli, Collaborateur ; Henri Domengie, Collaborateur ; Guy Pérève, Collaborateur ; Philippe Regnier, Collaborateur Année de publication : 1987 Importance : 52 p. Présentation : ill. Format : 30 cm Langues : Français (fre) Catégories : [Mots-clefs] Bâtiment
[Mots-clefs] Caractéristique technique
[Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Compagnie
[Mots-clefs] Construction
[Mots-clefs] Doubs (département)
[Mots-clefs] Exploitation
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Gare
[Mots-clefs] Guerre 1914-18
[Mots-clefs] Guerre 1939-45
[Mots-clefs] Histoire
[Mots-clefs] Infrastructure
[Mots-clefs] Jura (département)
[Mots-clefs] Ouvrage d'art
[Mots-clefs] Projet
[Mots-clefs] Réseau
[Mots-clefs] Statistique
[Mots-clefs] Suppression
[Mots-clefs] Tracé
[Ligne] Andelot
[Ligne] Besançon
[Ligne] Entreportes
[Ligne] Foncine-Le-Haut
[Ligne] Levier
[Ligne] Maîche
[Ligne] Morteau
[Ligne] Mouthe
[Ligne] Pontarlier
[Ligne] Trevillers
[Compagnie] AL (Jura)
[Compagnie] CFD (Doubs)
[Compagnie] MM (Morteau)
[Compagnie] PM
[Compagnie] RDTD
[Compagnie] RFC (Doubs)
[Année] 1883-1953Index. décimale : 4390 Chemin de fer interurbain et vicinal - histoire - généralités Résumé : Le réseau de chemins de fer d'intérêt local décrit ici s'étendait en majeure partie sur le territoire du département du Doubs, mais comportait des prolongements dans le département voisin du Jura. Il y fut raccordé, à Foncine-le-Haut, avec l'important réseau des Chemins de fer vicinaux du Jura. Les quatre premières lignes isolées qui furent à l'origine de ce réseau furent concédées à deux groupes différents qui fondèrent chacun deux compagnies: le groupe franco-suisse, animé par Emile Schlumberger, pour la Compagnie du Tramway de Pontarlier à Mouthe (PM) et la Compagnie du chemin de fer de Morteau à Maîche (MM), qui deviendra Compagnie des chemins de fer régionaux de Franche-Comté (RFC) lors du prolongement à Trévillers ; la famille Laborie, représentée par Emile Laborie, pour la Compagnie du chemin de fer d'intérêt local d'Andelot à Levier (AL) et la Compagnie des chemins de fer du Doubs (CFD).
Ce morcellement et les intérêts divergents de trois des sociétés concernées commencèrent à créer des difficultés lorsque le Département voulut prolonger jusqu'à Pontarlier la ligne de la Compagnie des chemins de fer du Doubs avec raccordement avec celle de la Compagnie du chemin de fer d'intérêt local d'Andelot à Levier. Des lignes complémentaires sont concédées en 1913, mais leur construction est interrompue par la guerre et elles ne seront achevées qu'au cours de la décennie suivante. En 1927, la défaillance du PM contraint le Département du Doubs à racheter ses concessions et à affermer l'exploitation aux CFD. L'exploitation déficitaire de ces chemins de fer incite le Département du Doubs à racheter les trois concessions encore en vigueur, en vue d'une exploitation moins onéreuse, et le Département du Jura à résilier la concession de Andelot - Salins et à prononcer le déclassement de la ligne. A partir du 1er janvier 1939, les compagnies poursuivent leur exploitation à titre provisoire, dans l'attente d'une solution définitive. La guerre et l'occupation prolongent cette situation jusqu'en 1947, époque à laquelle l'exploitation de Morteau - Trévillers est reprise par les CFD. En 1950, l'ensemble des exploitations ferroviaires est repris par la Régie départementale des transports du Doubs (RDTD) qui les remplace progressivement par des services routiers, mutation totalement achevée en 1953.[n° ou bulletin]No 42 - 1987-2 - Les chemins de fer du Doubs : première partie [texte imprimé] / Jean-Claude Riffaud, Auteur ; André Artur, Collaborateur ; Claude Lornet, Collaborateur ; Jacques Renaud, Collaborateur ; Bernard Rozé, Collaborateur ; Willy Boegli (1916-1994), Collaborateur ; Jacques Laurent, Collaborateur ; Claude Rossinelli, Collaborateur ; Henri Domengie, Collaborateur ; Guy Pérève, Collaborateur ; Philippe Regnier, Collaborateur . - 1987 . - 52 p. : ill. ; 30 cm.
est un bulletin de Magazine des tramways à vapeur et des secondaires / Amis du rail secondaire et touristique
Langues : Français (fre)
Catégories : [Mots-clefs] Bâtiment
[Mots-clefs] Caractéristique technique
[Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Compagnie
[Mots-clefs] Construction
[Mots-clefs] Doubs (département)
[Mots-clefs] Exploitation
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Gare
[Mots-clefs] Guerre 1914-18
[Mots-clefs] Guerre 1939-45
[Mots-clefs] Histoire
[Mots-clefs] Infrastructure
[Mots-clefs] Jura (département)
[Mots-clefs] Ouvrage d'art
[Mots-clefs] Projet
[Mots-clefs] Réseau
[Mots-clefs] Statistique
[Mots-clefs] Suppression
[Mots-clefs] Tracé
[Ligne] Andelot
[Ligne] Besançon
[Ligne] Entreportes
[Ligne] Foncine-Le-Haut
[Ligne] Levier
[Ligne] Maîche
[Ligne] Morteau
[Ligne] Mouthe
[Ligne] Pontarlier
[Ligne] Trevillers
[Compagnie] AL (Jura)
[Compagnie] CFD (Doubs)
[Compagnie] MM (Morteau)
[Compagnie] PM
[Compagnie] RDTD
[Compagnie] RFC (Doubs)
[Année] 1883-1953Index. décimale : 4390 Chemin de fer interurbain et vicinal - histoire - généralités Résumé : Le réseau de chemins de fer d'intérêt local décrit ici s'étendait en majeure partie sur le territoire du département du Doubs, mais comportait des prolongements dans le département voisin du Jura. Il y fut raccordé, à Foncine-le-Haut, avec l'important réseau des Chemins de fer vicinaux du Jura. Les quatre premières lignes isolées qui furent à l'origine de ce réseau furent concédées à deux groupes différents qui fondèrent chacun deux compagnies: le groupe franco-suisse, animé par Emile Schlumberger, pour la Compagnie du Tramway de Pontarlier à Mouthe (PM) et la Compagnie du chemin de fer de Morteau à Maîche (MM), qui deviendra Compagnie des chemins de fer régionaux de Franche-Comté (RFC) lors du prolongement à Trévillers ; la famille Laborie, représentée par Emile Laborie, pour la Compagnie du chemin de fer d'intérêt local d'Andelot à Levier (AL) et la Compagnie des chemins de fer du Doubs (CFD).
Ce morcellement et les intérêts divergents de trois des sociétés concernées commencèrent à créer des difficultés lorsque le Département voulut prolonger jusqu'à Pontarlier la ligne de la Compagnie des chemins de fer du Doubs avec raccordement avec celle de la Compagnie du chemin de fer d'intérêt local d'Andelot à Levier. Des lignes complémentaires sont concédées en 1913, mais leur construction est interrompue par la guerre et elles ne seront achevées qu'au cours de la décennie suivante. En 1927, la défaillance du PM contraint le Département du Doubs à racheter ses concessions et à affermer l'exploitation aux CFD. L'exploitation déficitaire de ces chemins de fer incite le Département du Doubs à racheter les trois concessions encore en vigueur, en vue d'une exploitation moins onéreuse, et le Département du Jura à résilier la concession de Andelot - Salins et à prononcer le déclassement de la ligne. A partir du 1er janvier 1939, les compagnies poursuivent leur exploitation à titre provisoire, dans l'attente d'une solution définitive. La guerre et l'occupation prolongent cette situation jusqu'en 1947, époque à laquelle l'exploitation de Morteau - Trévillers est reprise par les CFD. En 1950, l'ensemble des exploitations ferroviaires est repris par la Régie départementale des transports du Doubs (RDTD) qui les remplace progressivement par des services routiers, mutation totalement achevée en 1953.Réservation
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Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 6700026657 - Périodique Bachet Périodiques Disponible No 43 - 1987-3 - Les chemins de fer du Doubs (Bulletin de Magazine des tramways à vapeur et des secondaires) / Jean-Claude Riffaud
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