[article] 
inLes transports publics > An. 13, no 2 (Février 1957) . - P. 10-12

Titre :	La Compagnie genevoise des tramways électriques doit faire face à l'afflux de 51 millions de voyageurs
Type de document :	texte imprimé
Année de publication :	1957
Article en page(s) :	P. 10-12
Langues :	Français (fre)
Catégories :	[Ligne] Aire [Ligne] Bel-Air [Ligne] Bernex [Ligne] BIT [Ligne] Carouge [Ligne] Ceinture [Ligne] Champel [Ligne] Genève-Plage [Ligne] Grand-Lancy [Ligne] Hermance [Ligne] Ligne 1 [Ligne] Ligne 12 [Ligne] Ligne 2 [Ligne] Ligne 3 [Ligne] Ligne 4 [Ligne] Ligne 5 [Ligne] Ligne 6 [Ligne] Ligne 7 [Ligne] Ligne 8 [Ligne] Ligne 9 [Ligne] Malagnou [Ligne] Moillesulaz [Ligne] Molard [Ligne] Pâquis [Ligne] Petit-Saconnex [Ligne] Rive [Ligne] St-Jean [Ligne] Vernier [Ligne] Veyrier [Mots-clefs] Bus [Mots-clefs] Capacité [Mots-clefs] Compagnie [Mots-clefs] Coût [Mots-clefs] Déficit [Mots-clefs] Exploitation [Mots-clefs] Finance [Mots-clefs] Genève (canton) [Mots-clefs] Modernisation [Mots-clefs] Remplacement [Mots-clefs] Réseau [Mots-clefs] Suisse [Mots-clefs] Suppression [Mots-clefs] Topographie [Mots-clefs] Tramway [Mots-clefs] Transport de voyageur [Mots-clefs] Transport public [Mots-clefs] Trolleybus [Compagnie] CGTE [Année] 1956-1961
Résumé :	La Compagnie genevoise des tramways électriques (CGTE) doit faire face à un trafic de voyageurs très important sur son réseau. L'évolution économique de Genève qui provoque le déplacement des habitants du centre-ville vers la banlieue nécessite une adaptation continue du réseau de transports publics. Le remplacement des trams par des trolleybus ou des bus sur la plupart des lignes a été décidé. Seules les lignes 1 et 12 resteront en mode ferroviaire, la charge de trafic ne se prêtant pas à une exploitation routière. Pour le reste du réseau, le trolleybus va être développé: il est plus apte que le tram à gravir les rampes existantes et plus économique à l'exploitation que le bus. Si la CGTE a gardé son statut de SA, les pouvoirs publics sont largement partie prenante dans l'entreprise. Avec son service public et l'exploitation des coûteuses lignes suburbaines, la compagnie est déficitaire et l'Etat doit la soutenir financièrement. La transformation des lignes est prévue dès 1957.

[article] La Compagnie genevoise des tramways électriques doit faire face à l'afflux de 51 millions de voyageurs [texte imprimé] . - 1957 . - P. 10-12.
Langues : Français (fre)
in Les transports publics > An. 13, no 2 (Février 1957) . - P. 10-12

Catégories :

[Ligne] Aire [Ligne] Bel-Air [Ligne] Bernex [Ligne] BIT [Ligne] Carouge [Ligne] Ceinture [Ligne] Champel [Ligne] Genève-Plage [Ligne] Grand-Lancy [Ligne] Hermance [Ligne] Ligne 1 [Ligne] Ligne 12 [Ligne] Ligne 2 [Ligne] Ligne 3 [Ligne] Ligne 4 [Ligne] Ligne 5 [Ligne] Ligne 6 [Ligne] Ligne 7 [Ligne] Ligne 8 [Ligne] Ligne 9 [Ligne] Malagnou [Ligne] Moillesulaz [Ligne] Molard [Ligne] Pâquis [Ligne] Petit-Saconnex [Ligne] Rive [Ligne] St-Jean [Ligne] Vernier [Ligne] Veyrier [Mots-clefs] Bus [Mots-clefs] Capacité [Mots-clefs] Compagnie [Mots-clefs] Coût [Mots-clefs] Déficit [Mots-clefs] Exploitation [Mots-clefs] Finance [Mots-clefs] Genève (canton) [Mots-clefs] Modernisation [Mots-clefs] Remplacement [Mots-clefs] Réseau [Mots-clefs] Suisse [Mots-clefs] Suppression [Mots-clefs] Topographie [Mots-clefs] Tramway [Mots-clefs] Transport de voyageur [Mots-clefs] Transport public [Mots-clefs] Trolleybus [Compagnie] CGTE [Année] 1956-1961

Résumé :

La Compagnie genevoise des tramways électriques (CGTE) doit faire face à un trafic de voyageurs très important sur son réseau. L'évolution économique de Genève qui provoque le déplacement des habitants du centre-ville vers la banlieue nécessite une adaptation continue du réseau de transports publics. Le remplacement des trams par des trolleybus ou des bus sur la plupart des lignes a été décidé. Seules les lignes 1 et 12 resteront en mode ferroviaire, la charge de trafic ne se prêtant pas à une exploitation routière. Pour le reste du réseau, le trolleybus va être développé: il est plus apte que le tram à gravir les rampes existantes et plus économique à l'exploitation que le bus. Si la CGTE a gardé son statut de SA, les pouvoirs publics sont largement partie prenante dans l'entreprise. Avec son service public et l'exploitation des coûteuses lignes suburbaines, la compagnie est déficitaire et l'Etat doit la soutenir financièrement. La transformation des lignes est prévue dès 1957.