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SLM & [et] le Luxembourg / Sébastien Jarne in L'escarbille, No 114 (Juin 2025)

Public ISBD [article]  inL'escarbille > No 114 (Juin 2025) . - P. 28-33 Titre : SLM & [et] le Luxembourg : les Chemins de fer secondaires luxembourgeois et leurs locomotives suisses Type de document : texte imprimé Auteurs : Sébastien Jarne, Auteur Année de publication : 2025 Article en page(s) : P. 28-33 Langues : Français (fre) Catégories : [Mots-clefs] 1-16 [Mots-clefs] 1-2 [Mots-clefs] 1-4 [Mots-clefs] 11 [Mots-clefs] 11-18 [Mots-clefs] 13-14 [Mots-clefs] 15-16 [Mots-clefs] 3 [Mots-clefs] 16 [Mots-clefs] 241-242 [Mots-clefs] 351-352 [Mots-clefs] 4 [Mots-clefs] 5 [Mots-clefs] 5-8 [Mots-clefs] 53-55 [Mots-clefs] 9-10 [Mots-clefs] 99.232 [Mots-clefs] 99.244-99.245 [Mots-clefs] Bonnevoie (nom de baptême) [Mots-clefs] Chemin de fer [Mots-clefs] Chemin de fer privé [Mots-clefs] Compagnie [Mots-clefs] G 2/2 [Mots-clefs] G 3/3 [Mots-clefs] G 3/4 [Mots-clefs] Guerre 1939-45 [Mots-clefs] Hesperingen (nom de baptême) [Mots-clefs] Histoire [Mots-clefs] Locomotive à vapeur [Mots-clefs] Luxembourg (grand-duché) [Mots-clefs] Montreux (nom de baptême) [Mots-clefs] Parc de véhicules [Mots-clefs] Suisse [Mots-clefs] Weiler-la-Tour (nom de baptême) [Mots-clefs] Zweisimmen (nom de baptême) [Compagnie] CFL (Luxembourg) [Compagnie] CSL (Luxembourg) [Compagnie] CVE (Luxembourg) [Compagnie] DRG [Compagnie] MOB [Compagnie] RhB (Grisons) [Compagnie] SLM [Compagnie] SSB (Berne) [Année] 1887-1956 [Ligne] Cruchten [Ligne] Larochette [Ligne] Luxembourg [Ligne] Remich Index. décimale : 4931 Compagnie de transport interurbain et vicinal (en tant qu'entité administrative) - parc de véhicules - ferroviaire Résumé : Le parc d'origine des Chemins de fer secondaires luxembourgeois (CSL) se composait de locomotives SLM type tramway à deux essieux, livrées en 1881-1882. Entre 1894 et 1900, il est complété par quatre locomotives du même type mais à trois essieux. En 1905, deux machines identiques à ces dernières sont rachetées d'occasion aux tramways de Berne, les 11 et 16, qui prennent les numéros 9 et 10 aux CSL. La 9 est retirée du service en 1939 et la 10, renumérotée 99.232 par la DRG est retirée du service en 1943. Pour la construction de la ligne entre Montbovon et Zweisimmen, le MOB acquiert auprès de SLM deux locomotives G 3/3 entre 1902 et 1903. Elles sont numérotées 1 et 2 et portent les noms de "Montreux" et "Zweisimmen". En 1907, la 1 est vendue aux CSL ou elle prend le numéro 13 et le nom de "Bonnevoie". La 2 reste en réserve au MOB jusqu'en 1918, date à laquelle elle est également vendue aux CSL ou elle prend le no 14. A l'annexion du Luxembourg par l'Allemagne, ces deux locomotives sont renumérotées 99.244 et 99.245 par la DRG. Elles deviennent les 241 et 242 aux CFL et sont retirées du service en 1955 et 1956. Les CSL achètent également trois locomotives G 3/4 SLM aux RhB en 1919, les 3, 4 et 5. Elles sont renumérotées 53-55 aux CSL puis 351-352 aux CFL, et sont retirées du service en 1954. [article] SLM & [et] le Luxembourg : les Chemins de fer secondaires luxembourgeois et leurs locomotives suisses [texte imprimé] / Sébastien Jarne, Auteur . - 2025 . - P. 28-33. Langues : Français (fre) in L'escarbille > No 114 (Juin 2025) . - P. 28-33 Catégories : [Mots-clefs] 1-16 [Mots-clefs] 1-2 [Mots-clefs] 1-4 [Mots-clefs] 11 [Mots-clefs] 11-18 [Mots-clefs] 13-14 [Mots-clefs] 15-16 [Mots-clefs] 3 [Mots-clefs] 16 [Mots-clefs] 241-242 [Mots-clefs] 351-352 [Mots-clefs] 4 [Mots-clefs] 5 [Mots-clefs] 5-8 [Mots-clefs] 53-55 [Mots-clefs] 9-10 [Mots-clefs] 99.232 [Mots-clefs] 99.244-99.245 [Mots-clefs] Bonnevoie (nom de baptême) [Mots-clefs] Chemin de fer [Mots-clefs] Chemin de fer privé [Mots-clefs] Compagnie [Mots-clefs] G 2/2 [Mots-clefs] G 3/3 [Mots-clefs] G 3/4 [Mots-clefs] Guerre 1939-45 [Mots-clefs] Hesperingen (nom de baptême) [Mots-clefs] Histoire [Mots-clefs] Locomotive à vapeur [Mots-clefs] Luxembourg (grand-duché) [Mots-clefs] Montreux (nom de baptême) [Mots-clefs] Parc de véhicules [Mots-clefs] Suisse [Mots-clefs] Weiler-la-Tour (nom de baptême) [Mots-clefs] Zweisimmen (nom de baptême) [Compagnie] CFL (Luxembourg) [Compagnie] CSL (Luxembourg) [Compagnie] CVE (Luxembourg) [Compagnie] DRG [Compagnie] MOB [Compagnie] RhB (Grisons) [Compagnie] SLM [Compagnie] SSB (Berne) [Année] 1887-1956 [Ligne] Cruchten [Ligne] Larochette [Ligne] Luxembourg [Ligne] Remich Index. décimale : 4931 Compagnie de transport interurbain et vicinal (en tant qu'entité administrative) - parc de véhicules - ferroviaire Résumé : Le parc d'origine des Chemins de fer secondaires luxembourgeois (CSL) se composait de locomotives SLM type tramway à deux essieux, livrées en 1881-1882. Entre 1894 et 1900, il est complété par quatre locomotives du même type mais à trois essieux. En 1905, deux machines identiques à ces dernières sont rachetées d'occasion aux tramways de Berne, les 11 et 16, qui prennent les numéros 9 et 10 aux CSL. La 9 est retirée du service en 1939 et la 10, renumérotée 99.232 par la DRG est retirée du service en 1943. Pour la construction de la ligne entre Montbovon et Zweisimmen, le MOB acquiert auprès de SLM deux locomotives G 3/3 entre 1902 et 1903. Elles sont numérotées 1 et 2 et portent les noms de "Montreux" et "Zweisimmen". En 1907, la 1 est vendue aux CSL ou elle prend le numéro 13 et le nom de "Bonnevoie". La 2 reste en réserve au MOB jusqu'en 1918, date à laquelle elle est également vendue aux CSL ou elle prend le no 14. A l'annexion du Luxembourg par l'Allemagne, ces deux locomotives sont renumérotées 99.244 et 99.245 par la DRG. Elles deviennent les 241 et 242 aux CFL et sont retirées du service en 1955 et 1956. Les CSL achètent également trois locomotives G 3/4 SLM aux RhB en 1919, les 3, 4 et 5. Elles sont renumérotées 53-55 aux CSL puis 351-352 aux CFL, et sont retirées du service en 1954.

La première crémaillère électrique / Sébastien Jarne in L'escarbille, No 114 (Juin 2025)

Public ISBD [article]  inL'escarbille > No 114 (Juin 2025) . - P. 34-44 Titre : La première crémaillère électrique : le Chemin de fer du Salève Type de document : texte imprimé Auteurs : Sébastien Jarne, Auteur Année de publication : 2025 Article en page(s) : P. 34-44 Langues : Français (fre) Catégories : [Ligne] Etrembières [Ligne] Monnetier-Mairie [Ligne] Treize-Arbres [Ligne] Veyrier [Mots-clefs] 1-12 [Mots-clefs] Alimentation électrique [Mots-clefs] Automotrice électrique [Mots-clefs] Bus [Mots-clefs] Ceh 2/3 [Mots-clefs] Chemin de fer privé [Mots-clefs] Compagnie [Mots-clefs] Exploitation [Mots-clefs] France [Mots-clefs] Haute-Savoie [Mots-clefs] Histoire [Mots-clefs] Infrastructure [Mots-clefs] Le Salève [Mots-clefs] Ouvrage d'art [Mots-clefs] Parc de véhicules [Mots-clefs] Profil en long [Mots-clefs] Remplacement [Mots-clefs] Réseau [Mots-clefs] Suppression [Mots-clefs] Téléphérique [Mots-clefs] Tracé [Mots-clefs] Train à crémaillère [Mots-clefs] Usine hydroélectrique d'Arthaz [Compagnie] CFS (Haute-Savoie) [Année] 1887-2025 Index. décimale : 4390 Chemin de fer interurbain et vicinal - histoire - généralités Résumé : Le réseau des chemins de fer du Salève se compose des lignes Etrembières - Monnetier-Mairie - Treize-Arbre, mise en service en 1892, et Veyrier - Monnetier-Mairie, inaugurée en 1894. Ces deux lignes à voie métrique et à crémaillère sont exploitées en traction électrique dès l'origine. Il s'agit de la première application au monde de la traction électrique pour des lignes à crémaillère. L'électricité est fournie par l'usine électrique d'Arthaz sur l'Arve, construite à cette fin. Les 12 automotrices sont alimentées par un rail latéral. Cette solution est plus économique qu'une ligne aérienne à la construction et à l'entretien, mais à nécessité la construction de 24 ponts pour s'affranchir des passages à niveau. A l'origine, les automotrices sont à classe unique mais la première classe est introduite en 1895 déjà. L'exploitation a lieu toute l'année, avec un service réduit en hiver. En 1912, la fréquentation du réseau atteint son apogée avec 87'000 voyageurs transportés. Dès 1932, des autobus circulent entre Annemasse, Etrembières et Monnetier et un téléphérique est mis en service entre Veyrier et le Salève la même année. La concurrence est trop forte et le chemin de fer cesse de circuler en 1934 entre Etrembières et Monnetier-Mairie et en 1936 entre Veyrier et Treize-Arbres. La voie et les automotrices sont immédiatement démolies. Quelques ponts et le dépôt d'Etrembières existent encore en 2025. [article] La première crémaillère électrique : le Chemin de fer du Salève [texte imprimé] / Sébastien Jarne, Auteur . - 2025 . - P. 34-44. Langues : Français (fre) in L'escarbille > No 114 (Juin 2025) . - P. 34-44 Catégories : [Ligne] Etrembières [Ligne] Monnetier-Mairie [Ligne] Treize-Arbres [Ligne] Veyrier [Mots-clefs] 1-12 [Mots-clefs] Alimentation électrique [Mots-clefs] Automotrice électrique [Mots-clefs] Bus [Mots-clefs] Ceh 2/3 [Mots-clefs] Chemin de fer privé [Mots-clefs] Compagnie [Mots-clefs] Exploitation [Mots-clefs] France [Mots-clefs] Haute-Savoie [Mots-clefs] Histoire [Mots-clefs] Infrastructure [Mots-clefs] Le Salève [Mots-clefs] Ouvrage d'art [Mots-clefs] Parc de véhicules [Mots-clefs] Profil en long [Mots-clefs] Remplacement [Mots-clefs] Réseau [Mots-clefs] Suppression [Mots-clefs] Téléphérique [Mots-clefs] Tracé [Mots-clefs] Train à crémaillère [Mots-clefs] Usine hydroélectrique d'Arthaz [Compagnie] CFS (Haute-Savoie) [Année] 1887-2025 Index. décimale : 4390 Chemin de fer interurbain et vicinal - histoire - généralités Résumé : Le réseau des chemins de fer du Salève se compose des lignes Etrembières - Monnetier-Mairie - Treize-Arbre, mise en service en 1892, et Veyrier - Monnetier-Mairie, inaugurée en 1894. Ces deux lignes à voie métrique et à crémaillère sont exploitées en traction électrique dès l'origine. Il s'agit de la première application au monde de la traction électrique pour des lignes à crémaillère. L'électricité est fournie par l'usine électrique d'Arthaz sur l'Arve, construite à cette fin. Les 12 automotrices sont alimentées par un rail latéral. Cette solution est plus économique qu'une ligne aérienne à la construction et à l'entretien, mais à nécessité la construction de 24 ponts pour s'affranchir des passages à niveau. A l'origine, les automotrices sont à classe unique mais la première classe est introduite en 1895 déjà. L'exploitation a lieu toute l'année, avec un service réduit en hiver. En 1912, la fréquentation du réseau atteint son apogée avec 87'000 voyageurs transportés. Dès 1932, des autobus circulent entre Annemasse, Etrembières et Monnetier et un téléphérique est mis en service entre Veyrier et le Salève la même année. La concurrence est trop forte et le chemin de fer cesse de circuler en 1934 entre Etrembières et Monnetier-Mairie et en 1936 entre Veyrier et Treize-Arbres. La voie et les automotrices sont immédiatement démolies. Quelques ponts et le dépôt d'Etrembières existent encore en 2025.